Même si mon récit reprend les sentiments et les observations de toute la classe, je laisse le mot de la fin à certains de mes camarades : 

 

Ils ont dit :

 

Morgane :

Quand je suis monté dans le canoë j’ai été pressée, j’avais un peu peur de tomber car je n’en avais jamais fait. Puis la peur s’est transformé en plaisir, quelle journée !

 

Vu comme ça La Save me semblait une rivière pleine de dangers, surtout quand notre canoë a dévié  dans les ronces et que j’en suis ressortie le visage griffé.

 

La rivière ne donnait pas envie de me baigner ni de tomber mais ça ne semblait pas gêner les pécheurs plutôt nombreux.

 

Dorra :

J’ai vu beaucoup de déchets sur la rivière, c’est dommage car elle est très belle

 

Julien :

Les berges sont naturelles avec des buissons et des orties, j’en sais quelque chose je suis rentré dedans.

 

Charles :

J’ai découvert la nature et comment elle se développe. Le martin pêcheur est passé sous mon nez.

 

Audrey :

On a fait peut être trop de bruit dans la vie calme de tous ces animaux.

 

Adrien :

J’ai fini fatigué car il fallait pagayer

 

Jordan :

Les arbres parfois formaient des tunnels en se rejoignant à partir des deux berges.

Je voyais la rivière sous un angle différent.

Si il n’y avait pas autant de déchets qui y flottent… ce serait si beau, si calme, si propre.

 

Léa :

J’ai eu peur des branches qui pendaient sur notre chemin car il pouvait y avoir des toiles d’araignées et des insectes. Mais j’ai bien rigolé.

J’ai appris qu’il ne fallait pas toucher les grenouilles car elles respirent par la peau.

 

Sandra :

J’aime glisser sur l’eau, j’ai découvert la nature.

 

Dylan :

Quand la rivière devenait plus large et plus sauvage, on avait l’impression que tout était propre. Mais en y regardant de plus près, on pouvait voir des taches d’huile, puis d’autres déchets

Cela me fait prendre conscience que l’homme a tout pollué, la rivière comme tout le reste.

 

Charlène :

Notre canoë était plein de feuilles à force de heurter les berges. Avancer était difficile, j’ai fini de mauvaise humeur mais après m’être changé, réchauffé et surtout après avoir mangé, j’ai bien aimé ce voyage quand même.

 

Noemie :

Il y avait plus de déchets dans l’eau que sur les berges. On voit plus les déchets quand il y a moins de courant.

 

Alysée :

Le nombre de déchets m’a surpris

 

Laurène :

L’eau pourrait faire fuir les animaux s’il y a encore plus de détritus

 

Laura :

J’ai eu un peu peur pour rentrer dans le canoë puis j’ai pris du plaisir à naviguer et explorer la rivière jusqu’au fleuve.

 

Angélique :

Au lieu d’aller tout droit, on allait dans les berges. Comme je l’ai est vue de très très près, je peux dire qu’il y avait des arbres, des orties, des ronces et des trous d’animaux.

 

Quentin :

Il y avait des animaux sous les branchages